Collaborateurs au projet Le projet de la Flore des bryophytes du Québec-Labrador était ambitieux! Documenter les bryophytes du Québec et du Labrador, leur attribuer un nom français, illustrer les espèces par des dessins au trait, par des photographies et avec des cartes de répartition, faire l'infographie nécessaire à l'impression et encore, publier les trois volumes avec le support de la Société québécoise de bryologie. C'était un travail colossal. Jean Faubert a été le porte-étendard de ce projet d'envergure, mais il a su s'entourer de gens dévoués à la cause de la diffusion de la connaissance sur ces négligés du règne végétal. La Société québécoise de bryologie trouve important d'offrir une marque de reconnaissance à tous ces gens qui ont offert leurs temps et leurs efforts et sans qui le projet n'aurait pas été possible. Merci infiniment! |
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Marilyn Anions |
Marilyn has lived, trekked, and canoed all over Canada. She has especially enjoyed working and living in many national parks (including St. Lawrence Islands, ON; Wood Buffalo, NT; Prince Albert, SK; Gros Morne, NF; Mealy Mountains, LB). Her passion is learning about all nature and being in the wilderness. Her research has included projects on black bears, vascular plants, as well as species in all taxonomic groups in Canada, with particular emphasis on rare species. Recently she participated in a publication on the eastern alpine ecosystems of North America. Marilyn was previous Director of Science at NatureServe Canada, as well as a member of the Species Specialist Committee (Vascular Plants) of COSEWIC. She continues as the compiler for English common names at VASCAN, the Database of Vascular Plants of Canada, as well as compiled the English common names for the nonvascular plants in the volumes of Flore des bryophytes du Québec-Labrador. | ||
Gilles Ayotte |
Né le 24 octobre 1948, à l'Annonciation, comté de Labelle. Employé de l'Université Laval depuis 1975. Responsable des travaux pratiques et de recherche au département de phytologie de la Faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation. Oeuvre dans le cadre de différents cours : Plantes nuisibles, Anatomie et morphologie végétales, Taxonomie des plantes du Québec, Taxonomie et méthodes d'échantillonnage en tourbière, Dispositifs expérimentaux. Est titulaire d'un diplôme en Techniques des sciences naturelles du CEGEP de Sainte-Foy, d'un baccalauréat général, d'un certificat en andragogie, d'un certificat en techniques éducatives et d'une maîtrise en technologie de l'enseignement de l'Université Laval. | ||
Carole Beauchesne |
Suite à mes études au Cégep de Sherbrooke en techniques des sciences naturelles, j'ai œuvré principalement comme naturaliste dans différents centres d'interprétation de la nature, en Abitibi, en Estrie, en Gaspésie et dans les Laurentides. Par la suite, retour aux études à l'UQAM afin d'obtenir un baccalauréat d'enseignement en biologie, interrompu pour lancer une entreprise familiale dans le domaine des impôts. Ce travail saisonnier me laissant du temps libre pendant la belle saison, je l'ai mis à profit pour faire du bénévolat au Musée d'art contemporain des Laurentides pendant une quinzaine d'années. Je le consacre maintenant à FloraQuebeca, au Comité régional pour la protection des falaises de Prévost et à la Société québécoise de bryologie; autant d'occasions d'observer et de mieux connaître les plantes, de les photographier et d'apprécier leur poésie. | ||
Micheline Beaulieu-Bouchard |
Native de Chicoutimi, province de Québec, Micheline fit ses études classiques au Collège du Bon Pasteur, dans sa ville natale. Elle obtiendra ensuite un baccalauréat en Communication graphique à l'Université Laval de Québec. C'est à l'université qu'elle développera son goût pour les activités de plein air et les sciences naturelles. Dans les années qui suivront, son intérêt pour les arts graphiques l'amènera à travailler brièvement comme dessinatrice de publicité et même comme enseignante à temps partiel pour subvenir aux besoins de sa famille grandissante. Les enfants devenant plus autonomes, elle s'inscrit au collège Algonquin dans la ville d'Ottawa et complète le programme de technologie muséale. Cette plateforme lui permettra de faire des stages à l'herbier national du Canada du Musée canadien de la nature et au Musée de la guerre en conservation de textiles. Un court emploi aux archives nationales et un nouvel intérêt pour la reliure la conduira à prendre des cours privés sur le sujet. De fil en aiguille elle se retrouvera à travailler dans un atelier de reliure avant d'entrer au service du Musée canadien de la nature dans la division de botanique, où elle travaille maintenant depuis vingt ans. Plus récemment, son expérience prise lors de sa contribution aux illustrations scientifiques des crânes du livre The Natural History of the Mammals of Canada par sa collègue Donna Naughton l'ont amenée à offrir ses services et contribuer aux illustrations et encrages des trois volumes de de la Flore des bryophytes du Québec-Labrador. |
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Guy R. Brassard |
Guy R. Brassard a fait ses premières armes en bryologie auprès de Howard Crum, au Musée national du Canada, puis de Bill Steere, au Jardin botanique de New York. Il a ensuite obtenu un doctorat à l'Université d'Ottawa, sous la direction de Fabius Leblanc. Au cours de sa longue carrière de professeur à l'Université Memorial de Terre-Neuve, il a monté de toutes pièces un grand herbier de bryophytes, mené des recherches sur les mousses arctiques et subarctiques et assuré la formation bryologique de nombreux étudiants. Il a également passé deux années au Danemark, à étudier la bryoflore arctique avec Gert Mogensen et à préparer une révision mondiale du genre Timmia. Aujourd'hui à la retraite, il travaille à une biographie du révérend Arthur C. Waghorne (1851-1900), missionnaire et botaniste à Terre-Neuve. Guy Brassard est membre honoraire de la Société québécoise de bryologie. |
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Des Callaghan |
Des Callaghan gained a PhD in bryology and presently works as a self-employed field bryologist in the UK, undertaking surveys for conservation and environmental impact assessment purposes. He has a keen interest in metallophytes and oceanic species, and enjoys the more difficult groups such as Bryum, Cephaloziella, Grimmia and Schistidium. In his spare time he is working on an atlas bryophyte flora of the county of Cheshire (NW England). Related subjects of interest include photography and microscopy. | ||
Suzanne Campeau |
Biologiste de formation, Suzanne a travaillé pendant dix ans comme professionnelle de recherche senior pour le Groupe de recherche en écologie des tourbières, à l'Université Laval. Elle a joué un rôle actif dans la mise au point de techniques de propagation des sphaignes et de restauration des sites tourbeux après exploitation. En 2003, elle lance Bryophyta Technologies, mettant ainsi son expertise et sa passion pour les mousses à contribution pour développer de nouveaux produits et techniques utilisant ces plantes singulières. | ||
Huguette Carretier |
Huguette Carretier était diplômée en biologie et en pharmacie de l'Université Paul-Sabatier, à Toulouse (France). Elle a obtenu une maîtrise en pédagogie universitaire des sciences de la santé à l'Université Laval, où elle a exercé pendant 25 ans en docimologie, notamment comme spécialiste de l'évaluation des compétences cliniques en sciences de la santé. Elle a également œuvré plus de 15 ans comme réviseure linguistique pour les Publications du Québec, le Naturaliste canadien, les Carnets de bryologie et d'autres publications scientifiques. Elle nous a hélas quittés en novembre 2017. | ||
Marie D'Aoûst |
Née quelque part sur les terres expropriées de Mirabel, Marie quitte sa campagne chérie pour étudier en cartographie et décroche un diplôme d'études collégiales en techniques cartographiques au Cégep de l'Outaouais. Ainsi outillée, elle travaille quelques années comme dessinatrice en génie civil. Elle entreprend ensuite des études au programme de baccalauréat en biologie, avec option écologie, à l'Université du Québec à Montréal. Après une année et demie au cœur de la grande ville, elle revient dans l'Outaouais, sans compléter le programme. Ce séjour en sciences biologiques vient alors enraciner profondément son amour immense pour la nature et les domaines qui s'y rattachent. Passionnée de plein air, Marie enrichit ses connaissances en botanique en parcourant les grands espaces et en côtoyant les spécialistes. Au seuil des années 2000, une autre passion, la langue, la ramènera sur les bancs de l'école. Marie complète ainsi le programme de baccalauréat en traduction et rédaction de l'Université du Québec en Outaouais et amorce une nouvelle carrière. D'abord traductrice dans le domaine de la santé, elle choisit ensuite la terminologie et obtient un poste de terminologue au Bureau de la traduction, où elle s'occupe, entre autres, du domaine de la botanique. Un travail qui lui permet de rester totalement plongée dans un monde qui la fait vibrer. |
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Jennifer Doubt |
Jennifer Doubt is Curator of the National Herbarium of Canada and Canadian Museum of Nature Field Bryologist, specializing in Canadian bryophyte floristics and conservation. In these roles, she works with Museum and botanical community colleagues - through collecting, research, educational outreach, service, and collection management - to increase knowledge and appreciation of the natural world. Jennifer first encountered Quebec bryophytes along the north bank of the Ottawa River, one mile by canoe from her birthplace in Deep River, Ontario. Her formative studies at the University of Alberta resulted in not only an M.Sc. in bryophyte ecology, but also an enduring, often-indulged weakness for recreational ice hockey. | ||
François-Xavier Faubert |
François-Xavier Faubert a vécu toute son enfance à Saint-Valérien au Bas-Saint-Laurent. Les différents domaines scientifiques ainsi que les domaines créatifs furent toujours pour lui une source d'émerveillement. L'esprit scientifique prit toutefois toute la place et il se lança donc dans l'étude des sciences naturelles. Il entreprit en 2006 des études en géographie et biologie à l'Université du Québec à Rimouski. C'est après avoir déménagé à Québec pour débuter des études en géomatique que François-Xavier se découvrit une passion pour l'animation ainsi que la modélisation 3D. Diplômé avec mention au collège O'Sullivan de Québec en 2011, il entreprit différents projets dans le domaine. Tout en gardant ses projets 3D comme passe-temps, il travaille désormais à la gestion d'équipe ainsi qu'au bon déroulement de différentes campagnes de collecte de fonds pour des ONG. | ||
Marc Favreau |
Marc Favreau est né à Montréal en 1952. Il a fait ses premières armes en sciences naturelles de 1959 à 1965, au Camp Rolland-Germain des Frères des écoles chrétiennes. En 1976, il a entrepris des études en biologie et en géographie à l'Université du Québec à Rimouski, où il a été initié à la taxonomie végétale par le professeur Paul Demalsy et a obtenu un baccalauréat en 1980. Il a ensuite étudié la bryologie auprès de Guy R. Brassard, à l'Université Memorial de Terre-Neuve, où un mémoire sur les bryophytes des érablières gaspésiennes lui a valu une maîtrise en 1987. À la même époque, il a participé à un inventaire des mousses des îles Saint-Pierre-et-Miquelon et a publié avec Guy R. Brassard la première version du Catalogue bibliographique des bryophytes du Québec et du Labrador. De 1989 à 2015, Marc a été traducteur spécialisé en botanique et en agriculture au Bureau de la traduction; sa carrière dans la fonction publique fédérale lui a valu le Prix de la présidente-directrice générale de 2012. Spécialiste des noms français des végétaux, il a contribué à la dernière version des Noms populaires et scientifiques des plantes nuisibles du Canada et travaille depuis une vingtaine d’années à la compilation de VasCan, la base de données des plantes vasculaires du Canada. Membre de la Société québécoise de bryologie et de FloraQuebeca, il participe régulièrement à la Randonnée Kucyniak, atelier annuel d’initiation à la bryologie. |
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Robert Gauthier |
Robert Gauthier est détenteur d'un baccalauréat en biologie, d'une maîtrise et d'un doctorat en écologie végétale de l'Université Laval. Aujourd'hui à la retraite, il a occupé un poste de professeur à la Faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation de l'Université Laval de 1973 à 2003. Au cours de cette période, il a enseigné la taxonomie des plantes et occupé le poste de Conservateur de l'Herbier Louis-Marie. Ses travaux de recherche ont surtout porté sur la flore vasculaire du Québec, sur l'écologie des tourbières et tout particulièrement sur les mousses des tourbières appelées sphaignes. Ces travaux ont donné lieu à de nombreuses publications scientifiques. Depuis sa prise de retraite, il poursuit toujours activement ses travaux de recherche. | ||
Christian Grenier |
Christian Grenier a vu le jour en 1951 sur la côte sud-gaspésienne. Son enfance a été marquée par les effluves marins et les paysages collinéens de Saint-Godefroi, petit village de pêcheurs et d'agriculteurs de la Baie des Chaleurs. En 1970, il quitte cette région pour des études collégiales et s'établit à Rimouski dans le Bas-Saint-Laurent. À cette époque, il s'intéresse à la phytopharmacologie et c'est par ce détour qu'il découvre l'univers de la botanique. Ses premières récoltes débutent alors. Il entre au service de l'État québécois en 1975 dans un laboratoire du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation. Parallèlement, il fonde une famille et entreprend un baccalauréat en biologie à l'Université du Québec à Rimouski qu'il complète en 1997. Pendant ces années universitaires débute une collaboration avec Jean Faubert, auteur de la Flore des bryophytes du Québec-Labrador. Par la suite, il se retrouve à l'Institut de technologie agroalimentaire (ITA), campus de La Pocatière, où il occupe les postes de technicien et d'enseignant. Il s'y dévoue particulièrement à mettre en valeur et à protéger l'herbier (QSA) de l'Institut et aussi à concevoir des documents botaniques et iconographiques propres à faciliter l'identification des végétaux. Il quitte l'ITA pour la retraite en 2010. Depuis ce temps, résidant à Saint-Anaclet près de Rimouski, il s'emploie à mettre en valeur son lot boisé et a débuté une nouvelle carrière à titre de consultant en botanique. Ses intérêts se sont centrés sur la flore montagnarde et des escarpements et il affectionne notamment les plantes inféodées aux substrats ultramafiques et calcaires. La Gaspésie tatouée sur le cœur, il concentre ses recherches dans cette région, mais l'ensemble du Québec (y compris nordique) retient aussi son attention. Les grands espaces de ce territoire n'ont pas fini de le fasciner. |
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Robert Ireland |
Curator of Bryophytes, Canadian Museum of Nature (formerly National Museum of Natural Sciences, The National Museums of Canada) Ottawa, Canada, 1966-1991. Author of Moss Flora of the Maritime Provinces. Now a honorary member of the Société québécoise de bryologie. | ||
Mariepierre Jalbert |
Maripierre Jalbert est née dans la banlieue nord de la ville de Québec. Elle est maintenant établie à l'Ange-Gardien, sur la Côte-de-Beaupré. Elle a fait des études en arts ainsi qu'en communication graphique. Elle est bachelière en Arts visuels de l'Université Laval. Après 3 ans d'expérience en entreprise privée, elle s'est ensuite tournée vers la fonction publique. Depuis maintenant 8 ans, elle travaille au sein de la Direction de la recherche forestière du ministère des Ressources naturelles comme consultante et graphiste pour les besoins des chercheurs en foresterie. En parallèle, elle travaille sur quelques projets d'organismes communautaires et à but non lucratif tant pour de la conception graphique que pour de la mise en page de documents. | ||
Audrey Lachance |
Audrey Lachance est originaire de Sainte-Apolline-de-Patton, un petit village au cœur des Appalaches. Son amour de la nature la pousse à s'évader à Saint-Félicien pour y réaliser une technique en milieu naturel. Elle fut diplômée en 2005. Sa passion pour la flore et la faune l'a amenée à travailler dans plusieurs régions du Québec. Depuis 2008, elle est membre du Bureau d'écologie appliquée, une coopérative de travail de consultants en environnement, qui lui permet de profiter pleinement de sa vie de famille en plus de réaliser des contrats intéressants en botanique. | ||
Marie-Lee Lacombe |
Marie-Lee Lacombe est une jeune Abitibienne de cœur née au centre de la ville Rouyn-Noranda, le meilleur de l'Abitibi-Témiscamingue. Elle a poursuivi ses études en arts visuels et médias graphiques dans plusieurs universités du Québec. Voyages, projets et folies, elle voyage constamment pour profiter pleinement de l'expérience que peut lui apporter la vie. Une ravissante artiste en devenir ! | ||
Michel Lamond |
Michel Lamond est né dans les Hautes-Laurentides, au nord de Montréal. Il demeure depuis plus de 30 ans à Châteauguay (Québec). Il a obtenu sa maîtrise en 1974, à l'Institut botanique de l'Université de Montréal. Il s’est par la suite consacré principalement à l'enseignement, à la conseillance pédagogique et à l'encadrement des nouveaux enseignants en formation professionnelle au secondaire. Il est l'auteur de 15 articles publiés dans des revues scientifiques et il a prononcé 10 exposés dans des congrès de sociétés savantes au Canada et à l'étranger. Maintenant à la retraite, il se consacre à l'étude des bryophytes, au sens large, et en particulier aux espèces de ce grand groupe de plantes qui poussent dans la région métropolitaine de Montréal. | ||
André Lapointe |
C'est en Radissonie que j'ai vite constaté l'importance des bryophytes. Elles étaient omniprésentes dans cette taïga encore indomptée. J'y ai d'ailleurs découvert la vastitude des tourbières sans vraiment comprendre leur complexité. La littérature signalait à peine quelques dizaines d'espèces, surtout des mousses. Sans vraiment abandonner, j'ai alors souhaité la venue d'un apôtre scientifique. Par le biais du réseautage mis en place par la création de FloraQuebeca, j'ai compris que ce groupe de plantes encore méconnues n'était plus orphelin. Il n'a suffi alors que d'un bon éclairage pour que cette science puisse s'épanouir pleinement. | ||
Martine Lapointe |
Originaire de Québec, Martine Lapointe s'intéresse à la flore québécoise depuis son adolescence et se met à la photographier afin de mieux la connaître. Après des études en technologie forestière, elle œuvre dans les domaines de la recherche universitaire et de l'enseignement en foresterie à l'Université Laval (Québec). Elle est active au sein de FloraQuebeca depuis plus de 10 ans et est une collaboratrice de la première heure à la Flore des bryophytes du Québec-Labrador. Elle est aussi l'auteure du livre "Plantes des milieux humides et de bord de mer du Québec et des Maritimes", paru aux Éditions Michel Quintin en 2014. | ||
Arold Lavoie |
Arold Lavoie est botaniste pour le Centre de la Nature du Mont Saint-Hilaire. Il est également consultant en botanique et inspecteur de la flore. Son travail consiste surtout à réaliser des inventaires de plantes rares et faire des caractérisations de milieux humides. Depuis les dernières années, il s'intéresse de plus en plus aux bryophytes et aux lichens. www.aroldlavoie.com |
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Stéphane Leclerc |
Depuis l'âge de 18 ans, Stéphane Leclerc est actif bénévolement auprès d’organismes à but non lucratif ayant un impact positif sur la nature, dont une dizaine d'années au sein de l'Association des amis du cap Tourmente. C'est à la suite de sa deuxième participation à la Randonnée Kucyniak qu'il décide d'offrir de son temps à la Société québécoise de bryologie. Arrivé tardivement dans le projet de la Flore, il y participe en tant que réviseur d'épreuve du volume 3. | ||
Linda M. Ley |
- Now lives in Ottawa, Ontario, but was born in Victoria, B.C. - Graduated from U.B.C. (Honours, Botany). - Worked at the National Museum of Natural Sciences (now the Canadian Museum of Nature) for 24 years as a Curatorial Assistant for Dr. R.R. Ireland, Research Scientist in Bryology. - Has been an independent consultant for 20 years, mainly working in bryology and phycology. |
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Michael Luth |
I was born 1955 in Freiburg, SW-Germany. This town lies between Schwarzwald (black forest mountains) with subalpine vegetation and Kaiserstuhl (vulcany hills), with mediterannean vegetation. So the nature around is very rich and as a teenager, we love to stay outside and find magic nature places. My first profession is goldsmith. When I finished this education, I go on university of art and study painting. But I want to do more. So I go in shool again and finish high-shool and then I study biology. My main disciplines were plant society, ecology and physiology of plants. My diploma thesis deals with bryophyte communities and their complexes and ecology on boulder slopes. I am working now since 25 years in my own office as a consulting biologist for vegetation science and nature conservation. I work together with engineers in the construction managements, to avoid destruction of important plant habitats, for example when they build a road or a pipeline. And I work together with farmers, to give them contracts for habitat connectivity. In my free time, I travel through Europe (and some overseas countries) to make pictures of bryophytes. In winter time I work on my books. Few years ago, I finished, after 8 years work, my "Bildatlas der Moose Deutschlands", with picture plates of all moss species of Germany (free available on www.bildatlas-moose.de). Now in work is the "Mosses of Europe", what will appear perhaps in 3-4 years. |
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Audrey Morin |
Audrey Morin est née à Lévis et y demeure toujours aujourd'hui. Géographe de formation, elle s'intéresse avant tout aux environnements naturels divers. Spécialisée en géographie physique et en système d'information géographique, elle a acquis, au cours de sa formation et de ses expériences de travail, des connaissances et compétences dans la bonne gestion des ressources naturelles, le tout dans un esprit d'analyse cartésienne. Détenant également une formation artistique, elle se perfectionne au fil des ans dans plusieurs types de dessins. Du dessin technique au dessin artistique, elle aboutit en 2011 au dessin scientifique en s'impliquant dans la réalisation de dessins au trait dans les trois volumes de la Flore des bryophytes du Québec-Labrador. | ||
Sébastien Nadeau |
C’est d'abord dans un profil technique orienté vers la faune que Sébastien Nadeau a entrepris sa formation au Cégep de Baie-Comeau au début des années 90. Passionné de la nature, il a poursuivi ses études universitaires en aménagement de la faune pour obtenir un diplôme de biologiste. Il exerce son métier depuis une quinzaine d'années dans la région du Bas-Saint-Laurent en majeure partie dans le monde de la forêt privée. Ses fonctions l'amènent à œuvrer auprès des intervenants, des conseillers forestiers et des propriétaires de lots boisés. Il participe, avec son équipe, à la réalisation de nombreux projets à caractères multiressources et d'autres sont orientés vers la protection et la conservation de la biodiversité à l'échelle de la région. Dans le cadre de projets de conservation volontaire, c'est en inventoriant des milieux humides qu'il a développé une véritable passion pour la flore et la photographie. Son travail lui permet de contribuer à l'acquisition de connaissances en regard des milieux sensibles, des espèces en situation précaire et des écosystèmes forestiers exceptionnels du territoire. Il collabore également à production et la diffusion d'outils d'information, à faire de la sensibilisation et de la formation. |
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Cassandra Robillard |
Cassandra Robillard est étudiante en biologie, avec un intérêt marqué pour la botanique, la bryologie et la conservation. Elle poursuit une maîtrise en Biologie et en utilisation durable des terres à l'Université d'Ottawa. Sa thèse de spécialisation porte sur l'habitat du lichen menacé Leptogium rivulare et la composition de la communauté des bryophytes compagnes à Stony Swamp, près d'Ottawa. Depuis quelques années, elle a travaillé dans divers milieux dont au Musée canadien de la Nature. Cassandra aime chercher et identifier les différentes mousses et hépatiques en faisant des randonnées, une science qui lui vient grâce à sa mentore, Jennifer Doubt, pendant qu'elle travaillait au Musée canadien de la Nature. Aussi, elle a fait des arts visuels depuis son enfance. Alors, c'était une opportunité qu'elle a eu de faire des dessins scientifiques pour la Flore des Bryophytes du Québec-Labrador. | ||
Line Rochefort |
Professeure au Département de phytologie de l'Université Laval et diplômée des universités Laval, de l'Alberta et de Cambridge, la Dre Line Rochefort est l'un des pionniers et des chefs de file dans la recherche sur la restauration écologique des tourbières. Ses travaux lui ont permis de se faire connaître au sein de la communauté internationale. La Dre Rochefort a fondé en 1992-1993 le Groupe de recherche en écologie des tourbières (GRET). Celui-ci réunit des chercheurs de plusieurs universités, des partenaires industriels (compagnies de tourbe) et des organismes gouvernementaux fédéraux et provinciaux, créant un terrain fertile et stimulant d'échanges pour les étudiants. Line Rochefort a été l'instigatrice d'un nouveau domaine de recherche dans l’industrie de la tourbe, soit le développement de techniques de restauration des tourbières après extraction de la tourbe. Depuis 2003, Rochefort poursuit son travail sur les tourbières avec la Chaire de recherche industrielle du CRSNG en aménagement des tourbières, en étroite collaboration avec l'industrie canadienne de la tourbe. Elle a également développé ces dernières années un nouveau créneau d'activités : la reconstruction des zones humides dans la région de l'Alberta, où les sables bitumineux sont exploités. L'expertise de Line Rochefort ne s'arrête pas au domaine des tourbières. Lors de ses premières recherches en 1991, elle s'est concentrée sur l'étude des problèmes de l'érosion des sols dans les bleuetières. Depuis 1993, avec ses collègues du Centre d'études nordiques de l'Université Laval, Line Rochefort collabore à des projets sur l'écologie de l'habitat de nidification de la Grande Oie des neiges sur l'île Bylot, au Nunavut. Elle s’intéresse aussi à la restauration des zones d'emprunt des routes en régions boréales en utilisant des plantes indigènes, notamment avec des bryophytes et des lichens. |
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Cécile Roy |
Née dans une famille de cultivateurs à Saint-Fabien, village du Bas-Saint-Laurent, j’ai occupé pendant 17 ans différents emplois dans le domaine des services avant de devenir femme au foyer à la suite de mon mariage avec Jean, l’auteur de la Flore. J’ai mis au monde et élevé mes trois beaux garçons dans la région de Rimouski, où nous demeurons toujours, maintenant qu’ils ont quitté le nid. Aimante de la tranquillité, je suis passionnée de jardinage. J’aime les randonnées en forêt, l’hiver en raquettes, lire et les soirées en famille ou entre amis. | ||
Claude Roy |
Claude Roy est né dans la région de Québec. Il demeure actuellement en banlieue de la ville de Québec. À l'emploi du ministère des Richesses naturelles de 1972 à 1976, il a participé à l'inventaire et à la cartographie de la végétation aquatique des eaux du fleuve St-Laurent. Il a par la suite cumulé près de 35 ans de service à l'Herbier Louis-Marie à la mise en valeur de la collection, à la formation des étudiants gradués ainsi qu'aux recherches floristiques et à l'identification des phanérogames et des cryptogames tels les lichens et les bryophytes. Il est maintenant retraité depuis 2010. Il compte à son actif plusieurs publications portant sur les plantes vasculaires et invasculaires, notamment dans les périodiques de l'Herbier Louis-Marie dont Ludoviciana, Provancheria et les Documents floristiques. Notamment, il est coauteur du volume « Plantes des villages et des parcs du Nunavik, 2010 ». Il a participé activement à de nombreuses campagnes d'inventaire floristique. Ces investigations botaniques ont permis la découverte de plusieurs espèces de lichens et de bryophytes nouvelles pour le Québec et d'autres liées à d'importantes extensions d'aires de répartition géographique. Il a travaillé de concert avec différents centres de recherches dont le CEN, le GRET, le CRAD, le CELAT, la chaire d'Anticosti, le Jardin Van den Hende, ainsi que pour divers départements de l'Université Laval. Il a agi comme assistant de cours ou pour des leçons de cours portant sur les lichens, sur les bryophytes, les plantes nuisibles et vasculaires (cours « Herbier »). De 1992 à la retraite, il a participé activement à la révision des taxons des « Plantes rares du Québec », plantes susceptibles d'être désignées menacées ou vulnérables pour le ministère de l'Environnement. En 1999, il a déterminé les invasculaires (lichens et bryophytes) provenant de la campagne d'échantillonnage pour le projet de Parc des Pingualuit. Il a agi comme réviseur régional des plantes vasculaires pour le grand projet nord-américain « Flora of North America ». Depuis 2012, il contribue à l'identification des lichens du Nunavik récoltés lors des campagnes d'échantillonnages du ministère du Développement durable, de l'Environnement, de la Faune et des Parcs (MDDEFP). |
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Hermann Schachner |
Hermann Schachner est un bryologue amateur passionné de photographie. Il est retraité et vit en Autriche. | ||
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